To transition the world's 300 million business travelers to tech-enabled & sustainable travel.
Bien que Covid-19 se soit avéré être une période difficile pour nous tous au cours des derniers mois, la crise sanitaire a eu quelques bons côtés. Le seul avantage qui nous concerne tous, où que nous soyons, est peut-être celui de l'environnement. Beaucoup ont parlé de "mère nature" qui a appuyé sur le bouton de réinitialisation, reprenant ce qui lui revenait de droit alors que les humains quittaient leurs territoires pour fuir la pandémie. Quelques exemples de ces ruptures dans les nuages sont l'observation de rares dauphins roses retournant sur les côtes de Hong Kong en raison de la baisse des activités des ferries (à ne pas confondre avec les fausses nouvelles concernant le retour des dauphins sur les canaux de Genève), ainsi que l'impressionnante diminution des émissions de carbone de la Chine d'environ 25 % sur une période de quatre semaines, une quantité équivalente à environ 200 millions de tonnes de CO2.
Les consommateurs du monde entier étant de plus en plus conscients de ce qu'ils consomment et de la manière dont cela affecte le monde qui les entoure, la responsabilité sociale des entreprises était déjà un grand sujet avant la pandémie. Les groupes de justice environnementale et les personnes sensibilisées à l'environnement ont en effet tenu les entreprises responsables de leur participation au changement climatique par le biais de leurs procédés et de leurs produits (Break Free From Plastic désigne Coca-Cola comme le premier pollueur plastique mondial, suivi de Nestlé et de Pepsico, par exemple). Nous nous attendons à ce que cette prise de conscience se développe au cours de la période qui suivra le Covid-19, et avec elle à une augmentation des exigences en matière de RSE et des pressions de la communauté internationale pour que les entreprises deviennent plus écologiques.
Le transport aérien, par exemple, représente actuellement environ 2,5 % des émissions mondiales de dioxyde de carbone, un chiffre qui devrait tripler au cours des trois prochaines décennies selon les Nations unies. Germanwatch l'illustre ainsi : "une personne seule prenant un vol aller-retour entre l'Allemagne et les Caraïbes produit la même quantité d'émissions nuisibles que 80 résidents moyens de Tanzanie en une année entière : environ quatre tonnes de CO2".
Les voyages d'affaires sont donc l'un des domaines que les entreprises doivent garder à l'esprit lorsqu'elles envisagent leur RSE. La fréquence des déplacements dans l'année, la nature des voyages, leur durée et leur kilométrage sont autant d'éléments qui ont une incidence sur l'empreinte carbone. C'est pourquoi Fairjungle lance son calculateur d'empreinte carbone gratuit, un outil simple et personnalisable qui vous permettra de suivre et de comptabiliser les émissions de carbone liées aux voyages de votre entreprise et de faire pression pour des voyages d'affaires plus écologiques.
Une autre ressource qui pourrait vous être utile est notre article sur comment rendre vos voyages d'affaires plus durables.
Nos experts sont là pour vous aider. Si vous souhaitez discuter plus en détail de la manière de voyager de manière plus responsable, envoyez-nous un courriel à contact@fairjungle.com et nous trouverons un moment propice pour discuter.
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